Comunicação em evento científico
"Une Reine Perdue. Art, Afrique et Musées Imaginaires", paper presented at the International Conference “André Malraux et les arts extra-occidentaux”/ André Malraux and non-Western arts , Maison de l’Amérique Latine, Paris, 13 - 14 november, 2014
Idalina Conde (Conde, I.);
Título Evento
Colloque International “André Malraux et les arts extra-occidentaux” , Maison de l’Amérique Latine, Paris, 13 - 14 november, 2014
Ano (publicação definitiva)
2014
Língua
Francês
País
França
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Abstract/Resumo
Cette présentation départ du discours prononcé par André Malraux à Dakar (30 mars 1966) lors de la séance d’ouverture du colloque au cours du Premier Festival Mondial des Arts Nègres. André Malraux élève la sculpture au rang majeur des arts africains, et universel, car “c’est à travers sa sculpture que l’Afrique reprend sa place dans l’esprit des hommes”. Les masques africains étaient le paradigme pour le ces “arts premiers” et les relations avec l’art moderne, mais il y a d’autres cas dans la sculpture africaine. Comme celui, très singulier, de l’art royale du Benin dès les XV-XVIème siècles. Une Reine Perdue est ici exemple et métaphore de cet art avec une trajectoire sinueuse dans musées imaginaires. La présentation envisage la problématique de la métamorphose, notion capitale d’André Malraux, ayant en vue divers rapports passé/présent dans telle trajectoire jusqu’à l’art contemporain. En particulier du Bénin, representé par Romuald Hazoumé, artiste reconnu au plan international. Ses oeuvres montrent-elles quelles traces, ou absence de traces, de l’art “premier” du Bénin? En plus, de quelle Afrique nous parle cet art aujourd’hui?
Agradecimentos/Acknowledgements
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Palavras-chave